Des rockers extrêmement doués, tout de rose vêtus, qui déambulent à travers la ville...
Festival d’Aurillac 2010...
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Théâtre de rues
Dernier ajout : 19 juin.
Articles de cette rubrique
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La fanfare électrique, par la compagnie Midi 12...
11 mai 2020, par -
Le parfum des pneus, par la compagnie Jeanne Simone...
9 mai 2020, parIls sont deux, qui passent ici, qui se fondent dans le flux urbain de cet angle de rue.
Duo de corps, on lit sa rondeur à lui, sa délicatesse à elle.
Il s’effondre, fracassant, pendant qu’elle fait corps avec le bitume ou s’enroule autour d’un réverbère.
Leur bande sonore : la respiration d’un bus, une porte qui claque, la radio du boulanger.
Ils respirent la rue, embrassent les contours d’un trottoir, observent, immobiles, un pigeon.
Ils s’enchevêtrent, prenant appui l’un sur l’autre, l’un sous (...) -
...et les autres, par la compagnie Quai des valses, Aurillac 2010...
9 mai 2020, parIl s’agit de mettre en scène l’aliénation collective qui fait de chacun un bourreau et une victime, de montrer comment la crainte de l’exclusion, les rapports de rivalité, les comportements narcissiques et égocentriques détruisent la personne.
Plus de perspective, plus de recul : s’en sortir, rester dans le coup et finalement aveugle aux autres, replié sur soi, sur sa misère sociale.
Le groupe, dans une sorte de transe collective, va explorer les formes de cette aliénation mentale, dans la mécanique (...) -
Nal Boa, compagnie Ex-Nihilo, Chalon dans la rue 2010...
8 mai 2020, parNal Boa est le fruit d’une coopération menée entre la Corée et la France durant l’année 2010, une réflexion sur l’autre, l’étranger et sur notre situation d’étranger, ailleurs.
Comment je regarde l’autre et vice et versa ?
Qu’est-ce que je regarde ? Qu’est-ce que je vois ?
Qu’est-ce que je ne vois pas ? Qu’est-ce que je comprends
ou ne comprends pas ?
Nal Boa met en scène des regards posés, des regards croisés, des prises de positions, des prises de paroles individuelles face à l’autre, poursuivant ainsi nos (...) -
"Eternal in/out", par la compagnie Materia Prima, festival d’Aurillac, 2010...
8 mai 2020, par"Eternal in/out" est le troisième volet d’une trilogie entamée par la
compagnie en 2005 sur le thème de l’ange et de la chute.
L’ange, non pas vu sous l’angle du divin et du religieux, mais comme métaphore de
la perdition de l’individu dans les villes tentaculaires contemporaines.
Des villes perçues ici comme des dédales d’informations et de technologie.
Des villes signes. Le premier volet de la trilogie ("Body Without Wings"
2005) traitait plus particulièrement de la chute et de la pulsion, le (...)
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