Œil de DOM
Se coucher tard nuit. Me lever matin m’atteint.

Derniers articles

  • Les Gonflés, par la compagnie Didier Théron...

    14 septembre 2017, par Dominique Villy

    Les Gonflés arrivent !!!
    Ils arpentent le territoire, le dessinent, en prennent possession.
    Les quatre performeurs se déplacent dans un espace et font escale en un lieu donné.
    Là, ils évoluent dans différentes situations. Là, ils inventorient espaces intérieurs et extérieurs, explorant l’architecture, le mobilier, les obstacles, les vides et leur environnement immédiat.
    Ainsi, ils s’emparent du monde, ils sont toujours ensemble, semblables, différents, ils s’adaptent, ils circulent, sont immobiles, (...)

  • To-BÔ-DoM, par la compagnie Fuegoloko...

    13 septembre 2017, par Dominique Villy

    Certains univers parallèles laissent apparaître des failles ... Dans un univers où tout ce qui peut potentiellement arriver finit par arriver, il arrive que les dieux s’autorisent une bonne blague, parce que hein bon, y a pas que le boulot ...
    Par cette brèche dimensionnelle arrivent To et Bô-Dom. Imprévisibles et querelleurs, ces trucs-machins anthropoïdes et colorés ne vivent que pour faire la fête, honorer leur divinité par un sacrifice et poursuivre une quête enivrante et glorieuse : mettre le (...)

  • Les Tondues, par la compagnie Les Arts Oseurs...

    13 septembre 2017, par Dominique Villy

    Dans l’après-guerre, 20 000 femmes furent tondues en place publique pour collaboration horizontale...
    Chalon a connu ça...
    Une vengeance pour certains.
    La honte, le tabou pour d’autres et un lourd silence transmis de génération en génération.
    Un secret de famille à taire et puis finalement chercher entre les pierres, interroger les silences, comprendre le passé pour ne pas être condamné à le revivre...
    Festival Chalon dans la rue
    Juillet (...)

  • En apnée, par la compagnie Délit de Façade...

    13 septembre 2017, par Dominique Villy

    Trois adolescents.
    L’héroïne, atteinte d’un cancer.
    Son ami, soutien infaillible lui-même en proie au "mal de vivre" avec qui elle fonde un groupe de soutien loin du regard parfois trop pesant de leurs parents, loin du regard que leur renvoie la communauté des bien-portants.
    Surgit alors l’Autre, "Celui qui arrive" : il boulverse le duo. La drague tâtonnante et rieuse se métamorphose en étincelle amoureuse : "débutante " mais ardente, d’autant plus urgente que la maladie telle une épée de Damoclès (...)

  • Ils étaient plusieurs fois, par la compagnie Bougrelas...

    12 septembre 2017, par Dominique Villy

    "France est en peine de vous faire part du futur décès de sa très chère mère.
    La répétition du parcours commémoratif débutera au domicile de la future défunte."
    À pas comptés, Ils étaient plusieurs fois immerge le spectateur au coeur d’une mémoire plurielle. Celle d’un lieu et d’une histoire qui ressurgissent, non sans failles, à travers les souvenirs d’une mère et de sa fille.
    Au cours d’une déambulation qui égrène les lieux comme des marqueurs de mémoire, le spectateur devient témoin d’un passé oblitéré. (...)

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