Sur le thème jamais abouti de la vie, 26:8 est une succession de tableaux étincelants, étonnants, sensuels qui nous enveloppe tel un songe inoubliable !
Sur une musique jouée dans l’instant, un être s’éveille, paisible, dans cet intrigant cercle métalique.
Contraste entre la rigidité du métal et l’émotion du vivant : on découvre dans la douceur des mouvements, un immense mandala.
Complice, obstacle ou refuge, il se métamorphose et suit les explorations de la danseuse. Evoluant au fil des détours de (...)
Œil de DOM
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26:8, par la Zest’Cie...
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Derrière le blanc, par la compagnie Ex-Nihilo, une autre version...
8 octobre 2017, parFondée en 1994, la compagnie Ex Nihilo fait le choix, depuis maintenant 20 ans, de travailler à l’extérieur : ce n’est pas un simple glissement du lieu de l’art – il ne s’agit pas de glisser/déposer à l’extérieur une forme créée à l’intérieur – mais de faire tout à la fois l’expérience d’une rencontre avec un espace, urbain ou naturel, et d’une relation à l’autre, passant, habitant ou spectateur.
C’est alors d’un double déplacement dont il est question ici et tout d’abord, celui de la danse – c’est le mouvement (...) -
Matin Brun, par la compagnie File en Scène...
8 octobre 2017, parLa nouvelle MATIN BRUN de Franck Pavloff, véritable apologue fulgurant, continue d’avoir un franc succès international. L’universalité de son message et son efficacité narrative séduisent autant les lecteurs que les artistes qui lui ont déjà donné plusieurs vies. (Cf : B.D, film, musique, lectures…).
Laurent Savalle, metteur en scène de la Compagnie File En Scène, s’est emparé du texte, en réaction, comme l’auteur lui-même, à une situation politique, idéologique et sociale préoccupante.
La force de (...) -
Les Impromptus Chorégraphiques, petite répétition, par la compagnie Frichti Concept...
8 octobre 2017, parLes Impromptus Chorégraphiques
Opérations chorégraphiques éphémères
Les Impromptus Chorégraphiques surgissent, surprennent, saisissent.
Trois danseurs nous livrent deux interprétations différentes d’un même espace, où Broadway côtoie le métro parisien, où la sensualité d’un duo devient une matière animale brute sur le bitume. Le public, lui, est au centre, traversé, il se déplace, se retourne, change de point de vue.
Cheminant d’un univers à l’autre, d’une texture corporelle à une matière plus incarnée, (...) -
Passage en force, par la compagnie Ironie du Corps...
7 octobre 2017, parUn carrefour.
Des piétons, des véhicules.
Des passages et des rythmes variés.
Des règles, des sens, des priorités.
Dans cette scène, trois présences récurrentes :
Une voix. Qui voit tout, qu’on ne voit pas.
Une hirondelle de carrefour qui veut bien faire.
Un danger public qui s’ignore.
Ils vont se croiser, se confronter aux autres.
Faire des choix.
Risques ou sécurité.
Aide ou empêchement.
Se rencontrer, enfin.
Ouvrir des espaces de liberté.
A construire et partager ensemble.
Festival de Théâtre de (...)
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