La Couriosité...
Festival Chalon dans la rue
Juillet 2016
Œil de DOM
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Ambiance Couriosité...
22 septembre 2016, par -
La couleur des hommes, par la Compagnie Bakhus...
22 septembre 2016, par« La Couleur des Hommes »
Duo danse, acrobaties, expression corporelle
Le duo "La Couleur des Hommes » est la première création de Sami LOVIAT-TAPIE, danseur/collaborateur de la compagnie BAKHUS.
Ce projet tente d’exprimer plusieurs facettes de l’Homme aussi bien au singulier que dans sa relation à l’autre en ayant comme finalité d’en interroger la nature primitive.
Les corps et leurs émotions évoluent au fil des variations musicales et des respirations.
À la fois contemporain et hors du temps les (...) -
Soif de la vie, par la compagnie Artedanse...
21 septembre 2016, par« Soif de la vie »
Synopsis : 2 compères refont le monde autour d’une bière. Tour à tour, ils se confrontent, se soutiennent, s’écoutent, se consolent …
À travers une mansarde qui se transforme au gré des situations, jeux, voyages et rêves prennent corps. Comme un hymne à l’amitié et à la vie, ces 2 âmes perdues nous font vouloir un monde meilleur.
Le point de départ de cette pièce chorégraphique est l’univers de Mano Solo, ses chansons, ses textes, ses dessins, son humanisme…
Dans une ambiance de troquet, (...) -
DEAL, par la compagnie Antipodes...
21 septembre 2016, parDEAL s’inspire librement de l’univers koltèsien, notamment de « Dans la solitude des champs de coton ».
Cette proposition théâtrale met en lumière une transaction, un deal, entre un dealer et un client, dont l’objet est animé par un désir incandescent mais obscur.
En donnant à entendre ce texte dans l’espace public, Antipodes plonge le spectateur dans une intranquilité, une perte des repères rassurants d’un espace théâtral clairement délimité.
Avant le premier mot, c’est la question du territoire, de (...) -
Alter Echo(s) 2, par la compagnie Annette Leday/Keli-Hélène Courvoisier...
20 septembre 2016, parCe sont des petits arrangements dansés sur les voix de Maria Callas et Patti Smith s’inspirant de la nouvelle de Virginia Wolf, la mort duu papillon.
"A chaque fois qu’il traversait le carreau, je me figurais qu’un fil de lumière vitale devenait visible. Il n’était rien, ou presque, d’autre que de la vie." (Virginia Wolf)
... Nous naissons tous avec le même passeport en cours de validité pour la mort...
Mettre en résonance, donner à voir en écho à un sourire, une voix amie ; hommage à une absente (...)
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