Le solo de Sophie Blet...
Œil de DOM
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Sophie Blet à la Manufacture, pendant le Festival d’Aurillac...
20 novembre 2015, par -
Ballade de nuit, par la Compagnie "Entre Terre et Ciel"...
19 novembre 2015, par« Ballade De Nuit » part à la rencontre du monde, il fait connaissance de son public au long d’un itinéraire qui comporte autant d’arrêt que l’initiation au langage secret du feu réclame.
Chantées, dansées, mimées, illuminées par le feu, accompagnées par un violon
dont le vibrato si particulier renvoie au mystère des pays du lointain, les saynètes ponctuent et rythment la ribambelle qui unit progressivement les acteurs à leur public, les intervenants partagent le feu avec les spectateurs.
La marche (...) -
OUI, par le collectif Microfocus...
19 novembre 2015, parVivre l’instant, se souvenir, se projeter. Rêver, encaisser, tenir.
Se lier, se délier, se relier. Se marier ?...
Le quotidien d’une relation est déversé sous nos yeux, tant dans la violence des chocs corporels que dans la douceur des regards portés l’un à l’autre… Ce qui lie les personnages est un « Oui ». Un engagement. Un mariage.
La cérémonie n’est-elle pas l’occasion de prendre à témoin l’entourage et la société elle-même ?
Mais qu’engage-t-elle réellement ? Quelle est la relation ? Que se joue (...) -
Les demis frères Grumaux, par Carnage Productions...
19 novembre 2015, parCarnage Productioins a répondu présent à l’invitation des Urbaindigènes...
Les Demi-Frères Grumaux
Les Grumaux sont une vieille famille de cascadeurs et chez les Grumaux, on est Grumaux de père en fils !
La peur, ils ne connaissent pas, le talent, ils l’ignorent.
Les Demi-frères Grumaux, ce sont 2 artistes... presque complets.
Vous les découvrirez dans des cascades à couper le souffle.
Un spectacle de haute voltige à mi-chemin entre les Marx Brothers et Mad Max.
Les dix ans des Urbaindigènes, (...) -
Soif, par la Compagnie Vendaval...
19 novembre 2015, parLa nuit. Un banc public. Une femme, seule, déroule le fil de sa vie.
"Je ne suis pas vivante. Je suis enfermée dans des souvenirs et des redites. Je dors mal et l’insomnie ne me pèse pas. La nuit, j’ai le droit de ne pas être vivante. J’ai le droit de ne pas faire semblant. La nuit, je retrouve les autres, elles...là-bas."
Il fallait survivre pour dire, elles voulaient toutes revenir pour dire, pour tout raconter, pour sauver le monde avec des mots...mais moi je n’ai rien dit car il faudrait les (...)
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