« Qui m’aime me suive » donne forme au hashtag populaire des réseaux sociaux pour interroger ce qui nous lie. L’espace offert par ce « dièze » géant à la danseuse hip-hop Amélie Jousseaume, se fait métaphore du rapport que nous entretenons avec ces médias.
Le corps et les émotions évoluent au gré des usages qu’elle fait de cet objet scénographique : entre contraintes et support, addiction et affranchissement, ce terrain de jeu chorégraphique révèlent nos contradictions.
« Ça veut dire que ces jeunes-là, (...)
