Mardi 14 avril
Macron m’a tué. Macron m’a lardé. Macron m’a assassiné...à l’insu de son plein gré.
L’idée de ce journal de confinement, c’était de la blague. C’était une forfanterie, rien de plus. Je me disais que j’allais torcher deux ou trois pages, vite fait, sur le coin du zinc, gribouiller, raturer, cliquer pour expédier, et hop ! après moi le déluge.
Rien de prévu (j’pourrais être ministre, donc), rien d’organisé, (ministre de l’éducation peut être), pas de vue à long terme (ministre de la santé par (...)