Cette fois, c’est sûr : J’irai pas au paradis !
Et toc !
Vous allez me dire que c’était prévisible depuis bien longtemps…
Vous allez aussi me dire que j’avais peu de chance d’être appelé à la table des élus, le moment venu, pour me goinfrer de nectar, bercé par la céleste mélodie que des angelots joufflus souffleraient dans des trompes divines…
Vous allez encore me dire que le barbu suprême a déjà son lot de casse-pieds pistonnés à gérer, et que le nouveau venu, tout jovial qu’il soit, doit prendre la (...)