Contrainte absolue et partenaire de jeu, alter-égo à l’artiste, à la fois manipulant/manipulé, l’agrès crée un va et vient permanent, déstabilisant, amenant à se jouer de ses fragilités.
Des corps qui se jettent, s’élancent, flottent, les cordes se croisent et se décroisent par l’inertie des corps volants.
Un jeux chaotique autant que millimétré qui crée du mouvement,
de la danse aussi, mais cherchant toujours à défier les possibles de l’espace, du corps et de l’œil.
La Compagnie Post Scriptum aime (...)