Avec quelques milliers d’années de recul, nous pouvons affirmer que Homo Sapiens manque de sommeil.
La Cie Courir les rues apporte son lit à la réflexion et répond, en musique, à notre besoin de repos et d’évasion,
Emmené par trois musiciens-chanteurs, le lit invite à un voyage dépaysant au cœur même de nos trajets quotidiens
Un voyage où le pas est lent, où la musique s’écoute à faible volume.
Petit à petit une bulle de douceur et de tranquillité se crée.
Qui veut s’allonger pour affronter la vie ? (...)
Œil de DOM
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Trucs et astuces, arnaque, boîte à idée, trousse à outils, gilets dorés ou parachute de sauvetage, Ruth Mutschlechner et Jean-Marc Michel sont là pour vous conseiller.
Festival Rues & Cies
Épinal
Juin (...) -
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25 juin 2024, parQuatrième tableau.
De la douce émotion à la transe jouissive, ces impromptus aux saveurs urbaines’ parfois fixes, parfois déambulatoires, habillent de paroles dansées l’espace public.
Dans le GIC, Groupe d’Intervention Chorégraphique, l’environnement est le meneur de jeu qui guide Anthony Egéa et son escouade de danseurs dans une flânerie rythmée par les vibrations des souffles et des corps.
Un tendre ouragan qui emporte les passants dans une nouvelle géométrie du spectacle.
Les danseuses, les (...) -
Groupe d’Intervention Chorégraphique, par la compagnie Rêvolution (3 sur 4)
25 juin 2024, parTroisième tableau
De la douce émotion à la transe jouissive, ces impromptus aux saveurs urbaines’ parfois fixes, parfois déambulatoires, habillent de paroles dansées l’espace public.
Dans le GIC, Groupe d’Intervention Chorégraphique, l’environnement est le meneur de jeu qui guide Anthony Egéa et son escouade de danseurs dans une flânerie rythmée par les vibrations des souffles et des corps.
Un tendre ouragan qui emporte les passants dans une nouvelle géométrie du spectacle.
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Groupe d’Intervention Chorégraphique, par la compagnie Rêvolution (2 sur 4)
25 juin 2024, parSecond tableau.
De la douce émotion à la transe jouissive, ces impromptus aux saveurs urbaines’ parfois fixes, parfois déambulatoires, habillent de paroles dansées l’espace public.
Dans le GIC, Groupe d’Intervention Chorégraphique, l’environnement est le meneur de jeu qui guide Anthony Egéa et son escouade de danseurs dans une flânerie rythmée par les vibrations des souffles et des corps.
Un tendre ouragan qui emporte les passants dans une nouvelle géométrie du spectacle.
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