Aujourd’hui c’est les saints qui sont à l’honneur. Demain ce seront les morts. Tout ça dans une rare grisaille. Sans le moindre son de l’extérieur. Ni voix, ni voitures. J’en serais presque à espérer le passage d’un p’tit con sur une pétoire en échappement libre, une engueulades d’ivrognes sous mes fenêtres, un feu d’artifice qui aurait du retard à l’allumage, un passage en rase-mottes de la Chasse helvétique, celle contre qui je peste quand elle sabote une nuit de brâme du cerf, du côté de Gy, un sac de (...)