Œil de DOM
Se coucher tard nuit. Me lever matin m’atteint.

Derniers articles

  • Haïcuc, par la compagnie Les Piétons...

    7 mai 2020, par Dominique Villy

    Nous retrouvons avec bonheur Les Piétons et leur nouvelle création – Haïcuc au festival d’Aurillac, 2010.
    Pour cette compagnie un spectacle est une musique, un espace sonore où le corps aide à porter la partition.
    Et ce nouveau spectacle ne va pas déroger à ses principes.
    La troupe, en petite formation, va durant tout le spectacle nous inviter, dans leurs chants à capela et leurs percutions corporelles, à savourer leurs Compositions Ultra Courtes : Les C.U.C …
    Un C.U.C ? C’est, un Concert Ultra (...)

  • Journal de confinement, page 39...

    7 mai 2020, par Dominique Villy

    Jeudi 7 mai 2020
    8 ième jeudi de confinement.
    Quand j’étais gamin, le jeudi était un jour béni des dieux : c’était le jour de repos, sans école !
    On l’aimait, ce jeudi. On l’attendait. On avait eu le temps d’élaborer des plans d’enfer, depuis le lundi.
    À la campagne, l’élément déterminant, c’était la météo. Fallait attendre jusqu’au matin pour être fixé. À peine éveillé, on filait à la fenêtre pour guetter la couleur du ciel.
    Soleil : on pourrait se retrouver au Bois d’École, pour entamer la construction de (...)

  • Via ! par la compagnie Les Clandestines, Festival d’Aurillac, 2010...

    7 mai 2020, par Dominique Villy

    Les Clandestines, ce sont neuf femmes, neuf comédiennes. Elles travaillent ensemble depuis 2000 sur la mise en voix et en mouvement d’un répertoire musical éclectique. Elles ont une approche du corps et de l’espace qui n’est pas éloignée de celle des arts plastiques (inscription dans des lieux singuliers, structuration de l’espace par le mouvement des corps, jeu sur les possibilités de transformation du costume…).
    La compagnie fonctionne en collectif qui se réunit chaque semaine.
    Sa recherche est (...)

  • Bertha & Miranda, par la compagnie Presque siamoises...

    6 mai 2020, par Dominique Villy

    Ces deux foraines désarticulées vous invitent à découvrir leur panoplie de bizarreries contorsionnées, à déguster sur manteaux de fourrure et estrade roulante.
    Équilibre philosophique et contorsions religieuses sont au menu des presque siamoises. Mais jusqu’où iront elles pour réveiller votre imaginaire ?
    Bertha et Miranda est né de l’envie d’amener les portés contorsion dans la rue. Le spectacle, d’une durée de 22 minutes se joue sur une remorque-scène. Il peut être donné à plusieurs reprises sur une (...)

  • Journal de confinement, page 38

    6 mai 2020, par Dominique Villy

    Mercredi 6 mai 2020
    On en a vus des dizaines, sur nos écrans.
    Les humains sont en retrait. Les bêtes avancent.
    Des canards en ordre de marche sur nos places publiques, devant Notre Dame, à Paris, mais aussi à Besançon, des marcassins sur nos trottoirs, des chèvres sauvages dans un centre ville du Pays de Galles, un puma dans la rue à Santiago du Chili, une harde de cerfs en maraude à Nara, Japon, un renard explorant un quartier chic de Londres, une raie manta dans le port de plaisance de Sète, (...)

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