Œil de DOM
Se coucher tard nuit. Me lever matin m’atteint.

Derniers articles

  • Su:m (Breath) par la Compagnie A PERSON ;S

    8 septembre 2024, par Dominique Villy

    Su:m (Breath)
    Respirez, nous dit-on.
    Mais comment faire quand le spectacle est à couper le souffle ‘
    Décrit sur le papier comme « le parcours d’une personne qui vit sa vie », Breath donne à voir une performance artistique clairement spectaculaire : Sanghyun Seo, un homme, habillé de blanc, grimpe sur une corde lisse de trente mètres de haut suspendue à une grue.
    L’ascension est ardue, semée d’embûches, il y a le risque, le danger, l’âme qui frôle la mort.
    Mais, quoi qu’il arrive, coûte que coûte, (...)

  • Soro ! par la Compagnie Chaos...

    8 septembre 2024, par Dominique Villy

    Soro !
    Dans Soro ! le corps des interprètes, comme expression politique de l’intime, est placé au centre.
    Mais la danse ici n’est pas seule, elle est accompagnée par la parole. Une manière de conjurer des siècles de mutisme forcé.
    Soro ! a pour projet de s’emparer d’une pensée féministe ouverte et nécessairement combative, contre un système patriarcal profondément ancré.
    Inspiré par l’intensité de la résistance des corps opprimés, Soro ! tentera au fil de sa danse, de laisser poindre un espace de (...)

  • Ici, Là-bas, par la Compagnie Héliotropion...

    8 septembre 2024, par Dominique Villy

    Ici, là-bas
    Librement Inspirée par les écrits d’Ellis Island de Georges Perec, ‘’Ici, la-bas" est le lieu de l’absence de lieu, le non-lieu, le nulle part.
    Le projet questionne aussi la relation à l’autre, à l’étranger, à l’intrus, l’autre soi…
    Le spectacle joue des représentations de situations spatiales et temporelles, de perceptions et d’évocations associées à des lieux de notre histoire réelle ou fantasmée.
    Les langages du corps, des mots, de la musique se rencontrent, provoquent des associations (...)

  • L’île aux esclaves par la Compagnie Anzar...

    8 septembre 2024, par Dominique Villy

    L’île aux esclaves.
    Les personnages grecs, le naufrage ainsi que le caractère d’Euphrosine tendent vers une tragédie. Mais la pièce est bien une comédie : confusion des sentiments, échanges de pouvoir entre maîtres et valets, enfin l’aspect résolument comique du personnage d’Arlequin.
    De plus, la pièce se termine sur une reprise du pouvoir par les maîtres et le retour au statut d’esclave de Cléanthis et d’Arlequin ; ce retour à la situation initiale est le propre de la comédie.
    Dans ces deux (...)

  • La ligne des hirondelles...

    8 septembre 2024, par Dominique Villy

    Besançon-Saint Claude, parcours ferroviaire particulièrement pittoresque...
    Septembre 2024

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