Œil de DOM
Se coucher tard nuit. Me lever matin m’atteint.

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Brèves de comptoirs, les dernières...

jeudi 7 août 2014, par Dominique Villy

Je m’étais fixé 200 ou 300 brèves. Voilà la 500 ième. Je pense que je vais arrêter là... sauf bien sûr en cas de perle !

Bonne lecture.

491

Lui, la soixantaine dépassée, sentencieux :

Un par page ?! C’est du gâchis !!!

Elle, six ans, et pas sa langue dans sa poche :

Oui. Du gâchis parmentier !

492

Les logiciels de traduction automatiques, c’est pas encore au point : Tiens, un exemple : Tu tapes « La chair est faible », ça te traduit ça par « La viande est molle ! »

493

Quand tu vois les causes des guerres, tu te dis qu’il y en a qui n’ont pas beaucoup de scrupules !

494

Moi, je regarde souvent France 5 l’après-midi. Et ben la-dessus, t’as que des pubs pour les vieux : Les monte-escaliers, les baignoires qui de redressent...

495

Nous, on a une expression quand on veut dire qu’on fait quelque-chose ensemble : on dit : « On le fait les deux le Paulo ».

496

La vendeuse, je lui mets le catalogue de l’année sous les yeux et je lui dis : vous voyez bien que c’est pas le prix que vous m’annoncez !

Et ben elle me répond « Vous avez la carte de fidélité ? C’est le prix quand on a la carte de fidélité ! »

Qu’est-ce que tu veux répondre à ça ?!

497

Elle, à Anna, 6 ans :

Tu chausses du combien, Anna ?

Anna :

Ça dépend des chaussures : parfois 19, parfois 30.

Elle :

Ça serait pas plutôt 29 ou 30 ?

Anna :

Non ! 19, avec ,un 2 !!

498

- C’est ce que je disais à Jeanine : il y a trois jours, il faisait 13°, aujourd’hui il fait 35° !

- Moi, à Levier, j’ai eu 8°

- Moi 12°

- Moi 6°

- Moi 14°

- Moi 38° !!

- Moi 24°, c’est bien !

- Moi 9° !!!

499

À la terrasse, cinq femmes attablées devant des steaks/frites, dont une matrone à fortes tétines accompagnée de ses deux garçonnets.
Le plus jeune dans son giron, le plus âgé installé à trois chaises d’elle, confié aux bons soins d’une des copines.

Le gamin-deux ou trois ans-, parfaitement calme au demeurant, joue avec sa fourchette en attendant d’être servi.

La matrone :

Brandon ! Tu poses immédiatement cette fourchette avant que j’te hiiinnnmmmmiiinnnn !

Simultanément, elle crispe sa main droite et la secoue violemment...