13h30, je retourne à la mine, regrettant un peu d’aller m’enfermer entre quatre murs, alors que l’après-midi promet une température idéale pour pédaler dans les sous-bois.
Bon, mais qu’importe, les soirées sont longues au début juin. Si les gigotons que je cornaque aujourd’hui ne me laissent pas exsangue, dans quatre heures je peux enfourcher le vélo, et la période de soleil dont je pourrai profiter devrait suffire pour faire de moi une carpette.
Ravi de cette perspective, je reprends contact avec le (...)