Mais qu’il est CON ! 
Le Gouilland(*) déjeune en compagnie de sa fille dans un troquet bisontin. 
Quoi qu’occupé à laisser la petite picorer dans son assiette, il est incommodé par une odeur de brûlé. Les incendies volontaires étant en recrudescence à Besançon depuis quelques mois, il s’inquiète. 
Un coup d’œil ici, un coup d’œil là, un mot à la serveuse... Non, le feu n’est pas dans les murs ; il doit cependant être proche. 
Repas avalé, les deux partent à travers les rues du centre ville. À l’opposé du (...)


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