Œil de DOM

Derniers articles

• Exit, par la Compagnie Pied d’Où

  15 avril 2012, par Dominique Villy

  La compagnie Pied d’Où a pour but la diffusion et la transmission de l’art du mouvement, ainsi que la création de spectacles vivants.
  Faire découvir l’art et plus spécifiquement la danse au travers de spectacles, performances mais aussi d’interventions auprès du public, d’établissement scolaire, etc...
  Ophélie Le Hiress, Solenn Barbosa-Dias.
  Aurillac 2011
  Photographies Dominique (...)

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• Il faut gueuler !

  15 avril 2012, par Dominique Villy

  Finalement, il vaut mieux gueuler !
  Pendant des années, j’ai été persuadé que la meilleure solution, pour obtenir ce qu’on veut, était de se présenter sous un jour plutôt sympa, et de manifester un maximum de compréhension à l’égard des autres...
  Et bien non !
  Erreur !
  Grossière erreur...
  Si tu te présentes avec un bon sourire au mec qui détient la clé de ton souci, il y a toutes les chances qu’il te prenne pour une petite crotte sèche. D’une chiquenaude dédaigneuse, il va t’envoyer dans les cordes, et (...)

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• Concert Broken Harps

  14 avril 2012, par Dominique Villy

  Amaury Faivre, talentueux harmoniciste bisontin s’installe en 2008 à proximité de Genève, où il rencontre les musiciens avec lesquels il fonde le groupe Broken Harps.
  Blues, shuffle, boogie, funk sont au menu, un son électrique et une énergie ravageuse au coeur du Mississipi, quand le blues appuie là où ça fait mal.
  Un groupe à découvrir ! Amaury Faivre : Chant, harmonica, guitare Yves Staubitz : Guitare Pascal Diggelmann : Basse Pascal Quinodoz : (...)

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• Escapade dans le Luberon

  12 avril 2012, par Dominique Villy

  Lumières de printemps dans le Luberon...

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• Brèves de comptoir, Mars 2012

  12 avril 2012, par Dominique Villy

  35 « Il tenait le restaurant de C.... C’était les bonnes années : il a fait du pognon. Tu penses, à l’époque, il y avait tous les allemands qui descendaient ; ils s’arrêtaient pour casser la croûte. Il y avait aussi les Peugeots. Ils avaient des primes. Ça marchait. »
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  Il entre dans le bar, tout emmitouflé dans une veste d’hiver qui date. « - Et alors ? Elle a 20 ans, cette veste. Je la mets jamais. Si elle vous plaît pas, c’est pareil ! Où il est, le journal ? »
  37 « Quand j’ai le journal du (...)

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