La Compagnie Osmosis/Ali Salmi s’interroge, dans ce nouveau projet, sur la place de l’homme dans l’imaginaire du travail, entre pénibilité et conscience professionnelle.
En croisant la réalité du monde industriel, une symphonie de corps machine/humain s’écrira à travers une grue nacelle autonome et son accastillage, poutrelle d’acier, rideau d’écran métallique, deux danseurs, un circassien, un opérateur machinerie, et deux témoins du réel, "parole et présence de corps en direct au coeur de ce ballet". (...)
Œil de DOM
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Cathédrale d’acier, par la Compagnie Osmosis/Ali Salmi
15 septembre 2013, par -
Les Amis belges dans la cour de l’Archevêché
12 septembre 2013, parDeux jours avant l’ouverture du Festival "Chalon dans la Rue", les amis belges arrivent dans la cour de l’Archevêché.
Ils s’installent.
Ils sortent des camions la bière, les outils, la bière, la peinture, la bière, les tissus, la bière, les tréteaux, la bière, les décors, la bière, les instruments, les cordes, les balais, les panneaux, les pinceaux...et la bière !
Merci à eux de m’avoir toléré !!!
Festival Chalon dans la Rue
Juillet (...) -
Entourloupolis, par la Compagnie du Parking
12 septembre 2013, parUn convoi insolite débarque son champ de foire bizarre : tout un monde où "y a plus qu’à s’éclater !"
De la catapulte gastronomique à une abominable cabine à frousse : jeux insolites, entourloupes et humour déjanté assuré !
Festival Chalon dans la Rue juillet 2013 -
Chanteuses par accident, par la Compagnie "Les Banquettes Arrières"
12 septembre 2013, parTrio de comédiennes devenues chanteuses par accident...
Leurs chansons a cappella sont de leur création et sans aucun trucage, des portraits qui grincent, qui décapent, qui dérapent parfois...
Mais toujours avec le sourire !!!
Auteure : Marie Rechner
Interprètes : Cécile Le Guern, Fatima Ammari-b, Marie Rechner
Festival Chalon dans la Rue, juillet 2013 -
Pardessus, par la Compagnie Passanbleu
12 septembre 2013, parLe pardessus, c’est cette seconde peau qu’on met pour se protéger des intempéries...et du reste...pour s’en faire une personnalité superficielle et passe-partout, qui cache celle du dessous.
C’est en découvrant la nouvelle de Gogol "Le Manteau", que cette compagnie a eu envie de faire d’un simple pardessus le protagoniste de leur histoire.
À travers une écriture chorégraphique pluridisciplinaire, ces deux individus aux allures monochromes vont, sous les notes d’un musicien décousu, raconter un sujet (...)
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