Œil de DOM
Se coucher tard nuit. Me lever matin m’atteint.

Derniers articles

  • Le rêve de Moustic, par la Compagnie "Les Trottoirs du Hasard"

    7 décembre 2012, par Dominique Villy

    Trois personnages parcourent les routes pour présenter un grand numéro de cabaret.
    Mais entre ces trois personnalités détonantes, règne une drôle d’ambiance :
    le Chef a une très haute estime de lui-même.
    Il est persuadé d’être la réincarnation d’un demi-dieu de la scène.
    Moustic ne rêve que de faire des bulles de savon et d’un monde où tout le monde serait gentil et Gromeuleu à bien du mal à rehausser le niveau avec son QI de Limace.
    Souffre-douleur de la troupe, le rôle de Moustic se réduit à assister (...)

  • Qui n’en veut, de mes brèves ???

    4 décembre 2012, par Dominique Villy

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    « - Bon, on va manger chez les flics, à midi ? Nan, je mange au golf, à midi ! Ah ouais ! Je vois ! Tu préfères bouffer avec des toubibs qu’avec un retraité EDF !"
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    Elle fait son entrée dans le bar.
    « - Bonjour ! »
    Tous ensemble :
    « - Bonjour ! »
    Une voix monte du groupe :
    « - Embrasse pas le Marcel, il a la chtouille ! »
    Le Marcel :
    « - Ouais ! Un gros bouton tout purulent, là ! »
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    Elle quitte la table.
    « - Tu t’en vas ? Oui, j’ai rendez-vous chez le dermato. Tu vas chez le dermato ? (...)

  • 7 Hommes, par la Compagnie Astragale

    3 décembre 2012, par Dominique Villy

    Equipe de création :
    Conception chorégraphique et artistique : Lulla Chourlin
    Chef de chœur : Frédérique Cesselin
    Danseur : Loïc Reiter
    6 chanteurs/ danseurs amateurs
    Cette performance a été conçue en relation et pour la cour du palais Granvelle.
    Elle met en jeu 7 hommes qui interagissent avec l’architecture du lieu par la présence des corps, de la danse et du chant. Des hommes entrent tour à tour dans l’espace de la cour.
    Ils mesurent, évaluent, indiquent des points dans l’espace. Le dernier (...)

  • Le Gouilland

    3 décembre 2012, par Dominique Villy

    Mais qu’il est CON !
    Le Gouilland(*) déjeune en compagnie de sa fille dans un troquet bisontin.
    Quoi qu’occupé à laisser la petite picorer dans son assiette, il est incommodé par une odeur de brûlé. Les incendies volontaires étant en recrudescence à Besançon depuis quelques mois, il s’inquiète.
    Un coup d’œil ici, un coup d’œil là, un mot à la serveuse... Non, le feu n’est pas dans les murs ; il doit cependant être proche.
    Repas avalé, les deux partent à travers les rues du centre ville. À l’opposé du (...)

  • La vie des grands fauves

    2 décembre 2012, par Dominique Villy

    Il est fébrile.
    Il jette des regards anxieux dans tous les recoins du lieu.
    Il est à l’affût.
    Tout à coup son visage s ’éclaire ; il affiche un large sourire : il l’a repéré !
    Il ne lui reste qu’à attendre son heure. Il en ronronne d’aise.
    Il attend...
    En embuscade, l’œil mi-clos, il savoure déjà l’instant où il mettra sa grosse patte dessus !
    Il est sûr de son fait : il l’aura !
    Brusquement, il frémit.
    L’issue est proche. Il se ramasse sur lui-même, prêt à la détente. Les jarrets tendus, il vit déjà le (...)

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