Le téléphone, instrument merveilleux s’il en est, offre parfois de superbes occasions de se payer la fiole de nos congénères ; avec un peu d’entraînement, un peu de présence d’esprit, un peu de chance aussi, quel régal de se laisser embarquer dans des histoires, drôles souvent, méchantes, ... jamais.
C’était décembre. Il faisait très froid. Je déambulais dans l’appartement, en short, pieds nus, poursuivant de toute ma rage un balai brosse entortillé d’une panosse, traquant le grain de poussière, le mouton (...)