Œil de DOM
Se coucher tard nuit. Me lever matin m’atteint.

Derniers articles

  • Sélection naturelle, par la Compagnie Makadam Kanibal

    15 octobre 2012, par Dominique Villy

    Dans un monde en huis clos, une famille cruelle rythme ses relations complexes par des farces d’enfants terribles, sous le regard fatigué de la vielle mère presque morte.
    Ils vous font découvrir leur façon curieuse d’exprimer leur amour haineux.
    A travers des techniques distordues de fakirs, de cirque, et par leurs étrangetés corporelles, ils vous embarquent dans leur univers où ce qui peut vous paraître étrange est leur quotidien ...
    Observez cette tranche de vie d’une famille atypique, dont notre (...)

  • "Beau Travail", par la Compagnie 1 Watt

    12 octobre 2012, par Dominique Villy

    Pendant 3 heures, l’équipe d’opérateurs de Beau travail va tester le terrain, prélevant ce qui est à là fois intangible et essentiel pour ensuite inventer un parcours qui instillera de l’imprévu, du suspens, de l’hilarité…
    Ils vont attacher le lieu, le soulever, le mettre en équilibre, le propulser, s’y propulser, le contempler, tranquillement ou intensément, c’est selon…
    Festival Chalon dans la rue
    Juillet (...)

  • Repéré !!!

    11 octobre 2012, par Dominique Villy

    Parfois le photographe, quoique passé maître dans l’art de la dissimulation, du camouflage et de la discrétion, se fait repérer par ses proies !
    L’oeillade qui lui est alors adressée peu traduire de l’intérêt, de l’agacement, voire du courroux !
    C’est un juste retour des choses, convenons-en...

  • "Rangez-vous !", par la Compagnie "Easy to Digest"

    11 octobre 2012, par Dominique Villy

    Les cartons envahissent l’espace, avancent, se montent en colonne, en mur, en tour, se défont, s’envolent et tombent, roulent, glissent, s’emmêlent.
    Ces cartons sont le prétexte à un jeu, et ce jeu est un éternel recommencement.
    Un personnage pris dans ses obsessions de lignes, de constructions, de "droiture".
    Un personnage en quête de liberté et de douceur.
    Festival Chalon dans la rue
    Juillet (...)

  • Des Corps Provisoires, par la Compagnie Antipodes

    9 octobre 2012, par Dominique Villy

    Un homme, torse nu.
    Il est là depuis plus longtemps que nous, debout à la lueur blafarde des réverbères.
    Sa danse est lente, forte, ancrée dans des certitudes physiques. La réalité se décale, comme son corps en torsion.
    Il est au centre d’une arène de fait, improvisée.
    Son regard porte vers un horizon en friche.
    Une voiture blanche, cabossée, une Passat évasion, traverse les spectateurs lentement.
    Elle se dirige vers lui. Droit, tout droit.
    Il cherche à l’éviter.
    Elle ne laisse pas faire. Lui (...)

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