Œil de DOM
Se coucher tard nuit. Me lever matin m’atteint.

Derniers articles

  • Le Gouilland

    3 décembre 2012, par Dominique Villy

    Mais qu’il est CON !
    Le Gouilland(*) déjeune en compagnie de sa fille dans un troquet bisontin.
    Quoi qu’occupé à laisser la petite picorer dans son assiette, il est incommodé par une odeur de brûlé. Les incendies volontaires étant en recrudescence à Besançon depuis quelques mois, il s’inquiète.
    Un coup d’œil ici, un coup d’œil là, un mot à la serveuse... Non, le feu n’est pas dans les murs ; il doit cependant être proche.
    Repas avalé, les deux partent à travers les rues du centre ville. À l’opposé du (...)

  • La vie des grands fauves

    2 décembre 2012, par Dominique Villy

    Il est fébrile.
    Il jette des regards anxieux dans tous les recoins du lieu.
    Il est à l’affût.
    Tout à coup son visage s ’éclaire ; il affiche un large sourire : il l’a repéré !
    Il ne lui reste qu’à attendre son heure. Il en ronronne d’aise.
    Il attend...
    En embuscade, l’œil mi-clos, il savoure déjà l’instant où il mettra sa grosse patte dessus !
    Il est sûr de son fait : il l’aura !
    Brusquement, il frémit.
    L’issue est proche. Il se ramasse sur lui-même, prêt à la détente. Les jarrets tendus, il vit déjà le (...)

  • Les pieds sur la nappe, par le Group’ Berthe : Une autre vision...

    27 novembre 2012, par Dominique Villy

    Projet de création de la Cie Group Berthe, la Nappe mêle arts plastiques, danse, théâtre...
    Le principe de la pièce est de poser une nappe et 3 artistes dans une rue.
    L’objet nappe est placé au coeur du processus de création, construit conjointement par l’équipe artistique et un groupe de femmes.
    Une nappe aux dimensions hors du commun, motif réalisé au crochet, est assemblée au milieu d’une rue... un colossal travail de femmes qui interroge sur le lien entre les générations, les cultures, les (...)

  • Plus rien ne bouge, par la Compagnie Désuète

    26 novembre 2012, par Dominique Villy

    Deux êtres, l’un vivant, l’autre animé, font perdurer leur mémoire amoureuse jusqu’aux frontières de la réalité.
    Avec pour seule obstination, la danse de l’éternel retour.

  • Ambiance "Veille de Festival"...

    26 novembre 2012, par Dominique Villy

    Tout le monde s’affaire, tout le monde prépare...
    On affiche, on installe, on se renseigne, on visite, on repère...
    Veille de Festival : le spectacle est déjà là, si on prend le temps de regarder...

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